Le burn-out est une maladie grave en France qui est beaucoup trop minimisée. Pourtant pour les personnes qui souffrent de ce mal a besoin du soutien de leurs proches et d’un accompagnement spécialisé pour en sortir et tourner définitivement la page. Mais, sachez aussi qu’il est possible de l’éviter avec les quelques conseils suivants.
Le traitement adapté au burn-out
Le burn-out étant un état d’esprit et un mal-être physique en même temps, les personnes qui en sont victimes ont donc besoin d’une cure adaptée, mais aussi d’une assistance psychologique rapprochée. La fatigue et l’accumulation de stress conduisent au burn-out. Il est par conséquent naturel de prescrire des antidépresseurs dans cette situation. Mais de n’importe quel médecin.
En effet, vous n’avez pas à débourser pour vous faire ausculter et suivre par un spécialiste en cas de burn-out. Le médecin du travail est là pour vous écouter et vous apporter la solution adéquate. Il vous recommandera par ailleurs de prendre un repos de deux à trois mois en fonction de la gravité de votre état. Pour bien cerner la source du problème, vous serez amené à lui communiquer en détail les évènements et surtout les personnes qui vous ont mené au burn-out. Vous pouvez refuser de citer des noms, mais si vous tenez à rester dans votre boîte, vous feriez bien d’identifier vos oppresseurs.
Comment accompagner un proche souffrant de burn-out
Avant de songer à assister la personne concernée, il faudrait déjà être sûr qu’il s’agit du burn-out. En effet, certaines personnes le confondent souvent avec la dépression. Mais il faut savoir qu’il existe quelques nuances entre ces deux affections.
Voyez déjà si votre conjoint ou le membre de votre famille suspecté ne mange plus autant qu’avant, s’il se plaint de douleurs chroniques surtout au niveau du dos. Il arrive aussi que les victimes gardent tout pour elles. Elles minimisent les douleurs, le niveau de stress presque à son paroxysme, maquillent la vérité. Le meilleur moyen de confirmer vos inquiétudes est d’observer, de faire votre petite enquête de votre côté, et d’en parler à l’inspection du travail à Paris ou dans la ville où vous vivez.
